Background

Background en 2 parties : le "pré-historique", lorsque Patnoob était meneur et le normal (nommé simplement "background").
Le bacjground normal est le plus important à lire, il explique l'ambiance souhaitée dans la guilde.

Background pré-historique

Patnoob buvait la potion rituelle, comme chaque dimanche, sa composition à base de graines de pavot permettant d'entrer en contact avec les dieux.
Il soupirait : rien de bien spécial cette fois-ci, les dieux ne doivent rien avoir à communiquer... lorsque soudain, une brume épaisse envahit l'espace et il se senti soulevé de terre ! Une voix profonde et mystérieuse raisonna à ses oreilles : " Voit !"

Tout disparu. Puis, petit à petit, une vision apparût. Patenoob vit les douzes dieux de notre monde réunis ensembles. Leurs voix tonitruantes raisonnaient, de toute évidence quelque chose n'allait pas. Chaque dieu se mit à pester plus fort que l'autre dans un vacarme épouvantable !
Lorsque les oreilles de patenoob s'habituèrent à cette cacophonie divine, il pu comprendre la raison de cette réunion : les dieux n'en pouvaient plus : les mortels déshonnoraient leurs races, s'entretuaient inutilement, s'évertuaient à gagner du pouvoir au lieu de les adorer ! Eux, dieux, créateurs du monde, étaient ignorés !
Le brouhaha augmenta encore de volume, encore et encore, l'aparence des dieux se fit de plus en plus vaporeuse, s'approchèrent les unes des autres, se mêlèrent jusqu'à ne former qu'une seule et immense entité ! Les nuages gris s'accumulèrent, le tonnerre tona, les éclairs fusèrent tout azimut ! Un tremblement de terre effroyable ébranla le sol, l'air se faisait irrespirable, et l'entité formée des douzes dieux semblait instable, parcourue de virbrations, de la lumière et des ombres composaient cette masse divine traversée par des vents violents.
Un râle d'agonie semblat en émerger, et là, l'entité, ce Dieu composé des douzes autres sembla se tasser sur lui même, reprendre une forme plus compacte, plus opaque.
Soudain, un vent d'une extrême violence en émerga suivie d'une explosion monumentale !
Patenoob était complètement sonné. Petit à petit, les nuages s'effacèrent, la terre s'apaisa et le calme revint. Il ouvrit les yeux et ressentis ce que ressentirent les dieux : leur divinité même avait été menacée à cause d'un sentiment réservé aux mortels : la colère.
Afin de se débarasser de ce sentiment humain qui risquait de leur faire perdre leur divinité, et donc d'anéantir le monde, ils avaient dû cumuler leurs forces et l'expulser.
Patenoob regarda autours de lui. Il existe douze dieux, il les distinguait clairement, mais suite à l'explosion, il n'y avait plus douzes entité... il y en avait treize !

Cette treizième entité n'était que violence et haine, sombre et tumulteuse, dont émanait un pouvoir terrifiant ! Cette entité, qui pouvait s'aparenter à un poltergeist de dieu était l'incarnation de leur colère. La colère que ressentait ce Dieu unique composé de douze autre. Cette colère qui s'était matérialisée.
Patenoob vit le dieu sram se tourner vers lui et lui murmurer : Deis irae... Dies Irae... la colère de Dieu.
Puis, le néant.

Un bruit fit sursauter patenoob. Il était couvert de sueur, tremblant de la tête au pied, son coeur lui martelant la poitrine. Il compris : le dieu sram s'était adressé à lui et lui avait confié une mission. Il devait apaiser cette entité dont le nom lui a été répété par trois fois : dans la lanque des dieux, Deis irae, en latin qui est dérivée de la langue divine, Dies irae, et enfin en français : La colère de Dieu.

Cette entité, Dies Irae, était terriblement puissante... il fallait venger les dieux pour les affronts que leur avaient fait les mortels.

Alors, il créa une guilde dont l'unique but était de servir les dieux. La puissance de Deis Irae, dès qu'il prit cette décision, s'insinua en lui, décuplant ses forces et sa soif de vengeance.

Chaque être qui s'engage sous la bannière de cette guilde adoptent la noble cause qui est la notre : venger les dieux. Nous sommes leurs soldats !
Pour cela, il nous faut faire de nombreux sacrifices à Dies Irae, tant humains qu'animaux. Et dès que nous voyons un être suseptible d'attiser le couroux de Dies Irae par sa cupidité, son égocentrisme, sa violence ou sa stupidité, nous rendons son corps à la terre afin que le cercle de la vie puisse continuer : il se fera manger par des larves, que mangerons les bwak, que mangerons les mulous, que mangerons les crocas que nous mangeront... ainsi est fait la vie.

Nerwende


Background

Patnoob s'était fait hermite depuis bien longtemps, Tulkas ayant repris le flambeau. Cela était décidé depuis longtemps : Tulkas succedera à Patnoob, puis moi à Tulkas.
La vie étant ce qu'elle est, j'ai dû par force forcée m'éloigner de la guilde durant 5 ou 6 semaines... quelle ne fut pas ma stupéfaction en revenant !!

Des corps gisants, des ossements, et des survivants faméliques perdus, hébétés, méconaissables !
Je cherchais sans relâche Tulkas lorsque je tombais sur Westmalle, son fidèle ami de toujours. Prostré, il me regarda avec étonnement. Il ne semblait pas mieux comprendre que moi... tout ce qu'il s'avait, c'était que Tulkas était parti, lui laissant les rênes du navire en naufrage. S'il reviendrais un jour, ou s'il était encore en vie, il n'en savais rien.
Tulkas, parti ?
Je ravalais mes larmes de désespoir à voir la guilde dans un tel état, à voir tous ces pauvres membres désenparés, sinon morts. Je me relevais. Tulkas, parti ? Soit ! Je ne me laisserai pas dépérir, ni laisserai pas mourir le peu de survivants qu'il y avait ! S'il était parti, alors c'était à moi de relever la guilde, de guérir ses membres, de redorer le blason !
D'une main ferme et courageuse, je me mettais à l'ouvrage, réfléchissant aux priorités. Qu'y a t-il de plus important au sein d'une guilde ? Voyons... hmm... la communication !
Je cherchais désespérément l'adresse de notre ancien lieu de parole. Hélas, l'adresse, trop compliquée, était introuvable... impossible d'y envoyer des messages par bwak postal. Je décidais donc d'en créer un nouveau, dont l'adresse serait courte et facilement mémorisable. J'utilisais pour cela 4 lettres : G, U, D, I, pour "GUilde Dies Irae"

Le membres commençaient à guérir, j'étais parvenue à en recruter quelques autres. Alors que j'étais tranquillement entrain de retaper la maison de guilde, dégradée par ces quelques semaines d'abandon, une ancienne membre de la guilde surgit de nulle part ! Je descendis de mon échelle et couru vers elle les bras tendus, mais m'arrêtais bien vite à 2m sous son regard foudroyant... qu'avais t-elle ?
Soudain, elle se mit à m'insulter de tous les noms, à tenir des propos incohérents, puis s'enfui aussitot sans demander son reste !
Cet évènevement ébranla ma conviction de devoir relever la guilde. Et si, après tout, c'était peine perdue ?
Je chaussais alors mes meilleures bottes en cuir de croca et partis à la recherche de notre ancien meneur, Patnoob.

Après quelques jours d'errances, je le trouvais enfin, assis en tailleurs dans le creux d'une parois montagneuse, dodelinant de la tête et murmurant des paroles inconpréhensibles. Je m'agenouillais près de lui lorsqu'il releva la tête : "Nerwende ! quelle bonne surprise !!"
Après moultes embrassades et vigoureuses tapes dans le dos, je lui expliquais la situation. Il hocha la tête puis dis d'un air songeur : "reviens dans 7 lunes".
Je campis donc non loin de là et revint 7 lunes plus tard. Je le trouvais à nouveau assis en tailleur, mais cette fois il ronflait bruyemment.
Je le réveilla doucement, il redressa la tête, frotta ses yeux embrumés de sommeil et me demanda ce que je voulais. Après lui avoir rapellé que je devais venir dans 7 lunes, il hocha la tête, visiblement mal à l'aise, regarda à droite, à gauche, semblant tenter de réfléchir à toute vitesse, puis s'immobilisa. Il se gratta le nez, renifla un bon coup et me dis d'un ton mystérieux : "Nerwende... [petit suspens]... fais ce que tu veux." Content de sa réponse, il me souris et me donna mon congé. Je traînais des pieds sur le chemin du retour, espérant que cette courte réponse était un genre d'énigme plutot qu'un simple "débrouille-toi".

J'errais dans notre nouveau lieu de parole, cherchant désespérement une réponse, lorsque mon intention se fixa sur l'adresse dudit lieu... GUilde Dies Irae... Gudi... Gudi ?!!

Un éclair de génie me traversa l'esprit ! J'en eu un beau mal de crâne d'ailleurs, parce qu'une tête de iop n'est pas faitre pour être traversée par un éclair de génie, pas même par une lueur d'intelligence... Bref !

Alors que le nom "Gudi" résonnait dans ma tête, une musique céleste m'enveloppa, et une lumière ma foi fort lumineuse sorti de nulle part, m'enveloppa et me souleva de terre, m'éblouissant totalement !
Lorsque mes pieds touchèrent enfin la terre ferme, j'avais changé. Je ne ressentais plus de haine, ni de colère, de frustration ou de peine. Mon coeur était tout entier enpli de joie, j'avais envie de sautiller comme un boufton dans l'herbe fraîche et de pioupiouter des mélodies joyeuses sous le soleil radieux !
Mais je m'aperçue bien vite que je n'avais pas changé qu'à l'intérieur... ma peau pâle comme un linge s'était parée d'une magnifique couleur dorée comme les blés, mes tristes cheveux brins revêtaient une couleur vert printemps, mes vêtements ternes étaient colorés de rose bonbon et de bleu ciel !

J'étais... oui, c'est cela... j'étais la toute première d'une nouvelle race ! Une race joyeuse, gaie, sympathique, souriante avec des dents bien lavées et des oreilles propres, j'étais la toute première représentante de la race des Gudiz !!!
J'enlevais alors mes chaussures et parti en sautillant vers bonta, ayant la ferme et joyeuse intention de transformer le plus de gens possibles en d'heureux petits Gudiz !

Elle est pas belle la vie ? ^^

Nerwende

Je crois que tu as fait une erreur.



Deis Irae. Deis signifie le jour a l'ablatif ou datif.

Irae, c'est le genitif =P- Ainsi, meme si la phrase est fausse, on peut en tirer la conclusion suivante : Le jour de la colere. Ou le dieu de la colere. Et non pas la colere de Dieu =P



Mais bon, osef, Irae ca sonne bien, c'est le principal = P!

désolé de te contredire mais c'est faux, deis c'est les dieux, le jour c'est dies. On a donc deis, un datif ou un ablatif au pluriel ajouté à irae, un génitif ou datif singuliers, ou un nominatif pluriel ===> de la colère aux dieux, littéralement.

Effectivement la phrase est fausse.

Dieux c'est pas Deus ? XD



Tu dois mieux t'y connaitre que moi, j'ai pas fait de latin depuis 2 mois et je n'ai pas fait de recherches poussées.



Et comme tu le dis, Deus decilne a l'abblatif pluriel doit faire Deis =p.



La phrase juste ? Dei Ira ?

oui deis c'est au datif et ablatif pluriel, et la phrase juste serait ira deorum, la colère des dieux, ou encore dei irae, les dieux de la colère

pour être honnête, je parle pas un seul mot de latin, et c'est le 1er meneur qui a choisi ce nom ^^

Ah oui exact, deorum =P.



Mais Ira Deorum, ca fait moins classe que Deis Irae ;-).